La newsletter Biocoop

Restez informé de nos promotions, actualités et événements en magasin

inscrivez-vous
04 67 58 38 63
logo Biocoop
Courreau

Serres chauffées : une victoire en demi-teinte pour Biocoop

Serres chauffées :  une victoire en demi-teinte pour Biocoop

Le 11/07/2019


Face au dernier report de votes du Comité national d’agriculture biologique (Cnab), en avril dernier dont l’enjeu est d’interdire les serres chauffées en maraîchage bio, Biocoop s’est associé au Synadis Bio pour dénoncer le non sens environnemental que représente ce procédé.

 

Face au dernier report de votes du Comité national d’agriculture biologique (Cnab), en avril dernier dont l’enjeu est d’interdire les serres chauffées en maraîchage bio, Biocoop s’est associé au Synadis Bio pour dénoncer le non-sens environnemental que représente ce procédé.

 

Vignette non aux serres chauffées

Un vote était prévu aujourd’hui et les décisions suivantes ont été actées :
 

  • Pas de commercialisation de légumes d'été avant le 30 avril (ce qui limite très clairement l’intérêt des serres chauffées puisque nous sommes dans le respect de la saisonnalité),
     
  • Conversion serres chauffées 100% Energie Renouvelable obligatoire dès le 1er janvier 2020,
     
  • Toutes serres chauffées en Energie Renouvelable dès 2025

 

Chez Biocoop, le respect des saisons est inscrit dans son ADN. C’est pourquoi, depuis plus de 30 ans, l’enseigne refuse de commercialiser des tomates en hiver ou de pommes d'Argentine en juin.

 

Quand on sait qu’une tomate produite en France sous serre chauffée est responsable de 4 fois plus de gaz à effet de serre qu’une tomate importée d’Espagne et 8 fois plus qu’une tomate produite en France en saison, difficile – pour ne pas dire, impossible – pour Biocoop de soutenir un mode de production aussi peu respectueux de l’environnement. Cohérence environnementale, oblige !

 

"Le chauffage des serres implique une spécialisation des cultures qui appauvrit les sols, dès lors incompatible avec la démarche agronomique défendue par le modèle biologique",

explique la Fnab et le Cnab.

 

Retour